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Полное собрание сочинений. Том 33. Дополнения к изданию. Публичные чтения Г. Грановского

sa sagesse, son pouvoir et sa bonté.

II C h

L’Eternel absorbé dans la contemplation de sa propre existence, résolut, dans sa plénitude des temps, de communiquer sa gloire et son essence à des êtres capables de sentir et de partager sa béatitude, comme de servir à sa gloire. L’Eternel voulut et ils furent, il les forma en partie de son essence, capables de perfection et d’imperfection selon leur volonté.

(Birma, Vischnou et Sib).

Ils adorèrent l’Eternel, rangés autour de son trône, chacun dans le degré assigné. L’harmonie fut dans les cieux.

III Chap

Depuis la création de l’armée céleste, la joie et l’harmonie environnèrent le trône de l’Eternel dans l’espace de mille ans, multipliés par mille ans; et auraient duré jusqu’à ce que le temps ne fût plus, si l’envie n’avait pas saisi Mozazor et d’autres princes des bandes angéliques. Ils rejetèrent le pouvoir de perfection, et exercèrent le pouvoir d’imperfection, ils firent le mal à l’aspect de Dieu, ils le désolaient. Ils séduirent les anges et la tristesse saisit les esprits angéliques fidèles, et la douleur fut comme pour la première fois dans le ciel.

IV Ch

(On les précipite dans VOndera)

V Ch

Au bout de mille ans, Birma, Vischnou et Sib sollicitèrent la clémence de Dieu en faveur des délinquants. L’Eternel daigna les délivrer de la prison de l’Ondera, et les mettre dans un état de probation. Il y eut encore des rébellions contre Dieu dans ce temps de pénitence.

Ce fut dans une de ces périodes que Dieu créa la terre, les anges pénitents y subirent plusieurs métempsycoses et enfin ils furent métamorphosés en hommes.

Dict Philos de Voltaire (Ange).

Me voilà en Asie; j’ai voulu voir cela par mes yeux. Il y a dans cette ville vingt peuples divers qui ne se ressemblent point du tout. Il faut pourtant leur faire un habit qui leur soit propre à tous. Ils peuvent se bien trouver des principes généraux, mais les détails? Et quels détails? J’allais dire, c’est presque un monde à créer, à unir, à conserver.

Catherine II. Lettre à M. Voltaire de Kazan, le 18/29 mai 1767.

Moscou est un monde, non une ville.

Catherine II à Voltaire de Pétersbourg, 6/17 octobre 1771.

D e s p e n s é e s d e P a s c a l

Le présent n’est jamais notre but. Le passé et le présent sont nos moyens; le seul avenir est notre objet…

…Cet éloignement que les hommes ont du repos et de demeurer avec eux-mêmes vient d’une cause bien effective; c’est à dire du malheur naturel à notre condition faible et mortelle, et si misérable que rien ne peut

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nous consoler, lorsque rien ne nous empêche d’y penser, et que nous ne voyons que nous.

…Il (Napoléon) appelait cette grande lutte de nos jours la guerre des champs contre les comptoirs, celle des créneaux contre les métiers.

Mém de S-H<élène>. Tom VII, page 220.

La démocratie peut être furieuse; mais elle a des entrailles, on l’émeut; pour l’aristocratie, elle demeure toujours froide, elle ne pardonne jamais etc., etc.

…Le vrai est que je n’ai jamais été maître de mes mouvements, je n’ai jamais été réellement tout à fait moi.

Je puis avoir eu bien des plans; mais je ne fus jamais en liberté d’en exécuter aucun. J’avais beau tenir le gouvernail, quelque forte que fut la main, les lames subites et nombreuses l’étaient bien plus encore, et j’avais la sagesse d’y céder plutôt que de sombrer en voulant y résister obstinément. Je n’ai donc jamais été véritablement mon maître; maïs j’ai toujours gouverné par les circonstances; si bien que au commencement de mon élévation sous le consulat, de vrais amis, mes chauds partisans, me demandaient parfois où je prétendais arriver; et je répondais toujours que je n’en savais rien… et pourtant je leur disais vrai. Plus tard, sous l’empire, où il y avait moins de familiarité, bien des figures semblaient me faire encore la même demande et j’eusse pu leur faire la même réponse. C’est que je n’étais point

…Er besitzt, Ich wag’wohl sagen, Alles, was mir fehlt. Doch — haben alle Götter sich versammelt, Geschenke seiner Wiege darzubringen,

Die Grazien sind leider ausgeblieben;

Und wem die Gaben dieser Holden fehlen,

Der kann zwar viel besitzen, Vieles geben,

Doch lässt sich nie an seinem Busen ruhn.

T Tasso. Act II. Goethe.

Я ничего, я как для волка в басне филомела, один голос.

М. Лютер.

…L’unique disposition à recevoir la grâce, c’est la prédestination arrêtée par Dieu de toute éternité.

Luther.

Landon. Descrip de Londres, p. 89. Cité par Wiebeking.

«Les tombeaux ou monuments sépulcraux présentent un contraste frappant entre les monuments des premiers siècles et ceux des temps modernes. Sur les premiers on aperçoit les figures gothiques de quelques pieux évêques ou de quelques pieux chevaliers, courbés sur leur genoux et dans une attitude humble et modeste; d’autres, étendus sur le dos, les mains jointes et les yeux fermés, paraissent, suivant l’expression d’un auteur de nos jours, tout occupés de ce qu’ils voient dans les rêves de la tombe. Sur les monuments modernes au contraire on voit les statues des héros dans le costume le plus riche et le plus imposant, et avec un maintien fier et majestueux. Des inscriptions fastueuses aprennent quel rang ils ont occupé,

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à quelles dignités ils sont parvenus; des figures allégoriques sont groupées autour d’eux, et tel est quelquefois l’assemblage des divinités de la fable qui les environnent qu’on se croirait plutôt dans un temple payen que dans une église chrétienne».

Pour peu qu’il eût cédé à tel point, se fût-il ensuite arrêté? Comment aurait-il pu rappeler des principes dont la violation eut été autorisée par son exemple? Avant de s’engager dans cette vaste carrière où selon Cromwell «on ne va jamais si loin que lorsqu’on ne sait pas où l’on va». La Fayette s’était interdit toute chance d’égarement en assignant d’avance les limites de l’obeissance et de l’autorité, du pouvoir légitime et de l’usurpation, en les cherchant non dans les caprices de son imagination ou dans les calculs de son intérêt, mais dans les droits évidents, impérissables, de la nature et de la société. Mais la première, l’unique ambition de La Fayette était de voir son pays juste et libre; ce sentiment excluait toute complaisance pour des

Mémoires de général Lafayette, t. 3 (1792 -94), p. 387.

У Липперта Baderhoffer’s Geschichte der Phil

Горе от ума У Панаева Reboul — Poésies У Огарева Кошихин Соллогуб

У Куторги Cieskowsky Prolegome

У Носкова Фихте Leben

Schaller über Hegel

17 генваря 29 авг<уста> 3 мес. 29 дней 27 июня 22 октября Апрель

Май

Июнь

Июль

Buridan Goethe Lavater

Dichtung und Wahrheit — около 300 стр. 3 часть

С. Петербур<гский> жур<нал> от 1804 до 1809.

Жур<нал> Мин<истерства> Внутр<енних> Дел с 1829.

Lerminier.

Sur l’homme et le développement de ses facultés, un essais de Physique Sociale. Bruxelles, par Quetlet.

Картинки к Шекспиру.

<ИЗ ЗАПИСНОЙ ТЕТРАДИ 1850—1860-х годов>

INSIDE Глава первая

ИЗ ЖУРНАЛА ЖЕНЩИНЫ

1846. Октября 25.

Так много жилось и работалось, что мне наконец жаль стало унести все это с собою. Пусть прочтут дети, их жизнь не даст им, может быть, столько опыта. Не знаю, долго ли это будет и что будет потом, но пока я жива, они будут — больше или меньше — сохранены от этих опытов; хорошо ли это — не знаю, но как-то нет сил не отдернуть свечи, когда ребенок протягивает к ней руку.

Не так было со мною, с ранних лет или даже дней отданная случайности и самой себе, я часто изнемогала от блужданий впотьмах, от безответных вопросов, от того, что не было точки под ногами, на которой бы я могла остановиться и отдохнуть, не было руки, на которую б опереться.

Мое прошедшее интересно внутренними и внешними событиями — но я расскажу его после, как-нибудь на досуге; настоящее охватывает все существо мое; страшная разработка, до того все сдвинуто с своего места, все взломано и перепутано, что слова, имевшие ярко определенное значение целые столетия, для меня стерты и не имеют больше смысла.

30. Середа.

Сегодня я ездила проститься к Огареву, он уезжает в свою пензенскую деревню, и, может быть, надолго… Горько расставаться с ним, он много увозит с собою. У А<лександра> из нашего кружка не осталось никого, кроме его; у меня еще сохранилась к иным слабость — но только слабость… религиозная эпоха наших отношений прошла, юношеская восторженность, фантастическая вера, уважение — все прошло! И как быстро, шесть месяцев тому назад мы все, протягивая друг другу руку, думали, что нет в свете людей ближе между собою — или хотели думать. Теперь и этого никому не хочется. Какая страшная тоска и грусть была у всех, когда они сознали, что нет той близости, о которой мечтали. — Какая сделалась пустота, будто после похорон лучшего из друзей, и в самом деле были похороны не одного, а всех лучших друзей. У нас остался О<гарев>, у них — не знаю кто. Однако же мало-помалу силы возвращаются, становишься проще, самобытнее, будто сошел со сцены и

смотришь на нее из партера; игра была откровенна — но все же было трудно, тяжело, неестественно. Разошлись по домам, теперь хочется уехать подальше, подальше

1 ноября.

…Да, уехать… мы уже несколько лет собираемся в чужие край, здоровье мое расстроено, для меня путешествие необходимо. Пять лет хлопотали мы об этом — все бесполезно. Опять пошла бумага в Петербург — о снятии полицейского надзора. Что-то будет. Впрочем, я как-то спокойнее ожидаю теперь позволение ехать или отказ. Что это — равнодушие или твердость? На все смотришь спокойнее; удовлетворения все меньше и меньше и требовательности меньше… Не самоотвержение ли это? Какое жалкое чувство, нет, лучше сердиться или страдать. Отчего же я не сержусь и не страдаю, и не сознаю самоотвержения… Это не равнодушие — стало, твердость. По временам я чувствую страшное развитие силы в себе, не могу себе представить несчастия — под которым бы я пала. Последний припадок слабости был со мною в июне, на даче, тогда, как разорвалась цепь дружеских отношений и каждое звено отпало само по себе. У меня тогда поколебалась даже вера в Ал<ександра>, не

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sa sagesse, son pouvoir et sa bonté. II C h L'Eternel absorbé dans la contemplation de sa propre existence, résolut, dans sa plénitude des temps, de communiquer sa gloire et